samedi 26 mars 2011
لن تصدق .. إبداع بلا حدود
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لن تصدق .. إبداع بلا حدودL'ambassadeur US sortant: «L'Algérie n'est pas immunisée»
par Ghania Oukazi
Les Américains sont persuadés que l'Algérie n'échappera pas au vent de changement politique qui souffle sur la région. Ils veulent que toute décision dans ce sens soit discutée entre les gouvernants et le peuple. L'ambassadeur des Etats-Unis à Alger l'a dit clairement lors d'une ultime conférence de presse qu'il a animée jeudi matin, à la veille de son départ. «C'est une période de grands changements dans la région, cela signifie que les peuples recherchent plus de liberté, de dignité et dopportunités», a affirmé David Pearce. Il constate que «la manière pour provoquer ce changement varie en fonction des circonstances de chaque pays.» Tout en rappelant que «l'Algérie est le plus grand pays de la région (en terme de superficie) après le Soudan (après le référendum pour l'autonomie du Sud)», il indique que «le débat pour le changement est en cours, car l'Algérie n'est pas immunisée contre le changement du moment que le débat est lancé». Seulement, dit-il, «je pense que la décision de ce changement devra être prise en concertation entre le gouvernement et le peuple.» Selon lui, «les Etats-Unis pensent que l'Algérie est un grand pays, pas seulement en superficie ou en population, mais aussi par rapport à son rôle et à son influence dans la région. C'est pour cela qu'ils lui accordent une attention particulière». Il dit «reconnaître au peuple algérien beaucoup de talent et à l'Algérie son grand potentiel». C'est aussi ce qui le laisse persuadé qu'«il va y avoir un changement». Et, confie-t-il encore, «nous savons qu'il y a des discussions en cours à cet effet et qu'il y a des divergences de points de vue, c'est tout à fait normal. Mais il faut le faire avec beaucoup de tolérance, il faut être prêt à dialoguer à tout moment». L'ambassadeur a fait ses adieux «comme de coutume» mercredi au président de la République. Bien qu'il ait refusé de divulguer la teneur des discussions qu'il a eues avec lui, il indiquera qu'il a été question «de l'état des relations entre les deux pays, mais aussi sur ce qui se passe dans la région». Dans cet ordre d'idées, le diplomate américain affirme encore une fois que «le changement reflète les ambitions des peuples». Ambitions qui, explique-t-il, «sont très importantes et doivent être suivies et soutenues par les Etats». Il déclare ainsi que «nous souhaitons que les Etats les prennent en charge d'une manière transparente, sincère et pacifique». Il salue, pour la circonstance, la décision de la levée de l'état d'urgence prise par le chef de l'Etat. Décision qu'il qualifie de «très positive», tout en souhaitant qu' «il y aura d'autres ouvertures d'espaces de liberté pour la société civile, de liberté d'expression, d'opinion et de rassemblement». «La proposition marocaine est crédible et réaliste» Interrogé sur les conséquences de l'intervention militaire contre la Libye, Pearce a précisé que «c'est très important de comprendre que personne ne voulait arriver à cette situation, mais le fait est là : Kadhafi était en train de tuer des civils. Il fallait donc agir pour l'en empêcher. Il y a eu la résolution onusienne que la Ligue arabe a appuyée. La communauté internationale, comme l'a dit Clinton, devait réfléchir à la protection des civils avant de passer à l'acte. Vous savez qu'il y a 700.000 habitants à Benghazi et les forces de Kadhafi avançaient pour les exterminer. Que faire ? Rester les bras croisés ?». Il estime alors que «la communauté internationale a réagi pour un objectif humanitaire : il s'agit d'abord de la protection des civils». Il trouve «naturel que les décisions prises par les responsables soient remises en cause, surtout quand il s'agit de questions militaires». Mais il assure que «le président Obama ne l'a pas prise à la hâte : c'est une décision réfléchie et prise avec beaucoup de soin». Il espère, dit-il, qu' «elle profitera au peuple et que c'est lui qui décidera». C'est à demi-mot que l'ambassadeur reconnaît la hantise de son pays de voir «les extrémistes retourner la situation en leur faveur», tout en espérant que «ça ne se passera pas en Libye.» A une question sur le Sahara Occidental, Pearce précise en premier que «la déclaration faite récemment par Hillary Clinton reflète la politique habituelle des Etats-Unis, (même) s'il y a toujours des discussions sur la question». Une politique qui, précise-t-il «n'a pas changé. Nous avons toujours encouragé les visites de Ross et les parties concernées à discuter entre eux pour arriver à une solution mutuelle ». Il ajoutera surtout que «nous considérons que la proposition marocaine est crédible et réaliste, elle reflète la politique américaine sur le conflit sahraoui». L'ambassadeur affirme par contre que pour ce qui est du conflit israélo-palestinien, «je n'ai jamais vu un engagement aussi affiché en faveur d'une résolution de ce conflit comme celui de l'administration Obama. Mais nous pensons que la solution réside dans les négociations entre les deux parties». Il reconnaît que la question est ardue mais il rappelle, pour l'anecdote, que «George Michel m'a dit à ce sujet que pour régler le conflit en Irlande du Nord, j'ai eu à traiter 700 questions, j'ai eu 699 échecs, mais la 700e a été une réussite». Donc, il estime qu'«il faut persévérer pour trouver des accords sur comment le faire. L'administration Obama s'est engagée à résoudre ce conflit».Bientôt mis en circulation: Un nouveau billet de 2000 dinars
par Salem Ferdi
Une nouvelle loi de finances complémentaire pour 2011 et un nouveau billet de banque d'une valeur de 2000 dinars. Ces «nouvelles» mesures annoncées jeudi par le ministre des Finances et la Banque d'Algérie reviennent alimenter de vieux débats algériens sur la prévisibilité économique, sur l'informel et l'inflation. Une nouvelle loi de finances complémentaire, une ! La «tradition» désormais établie est respectée. Jeudi, le ministre des Finances a annoncé qu'une nouvelle loi de finances complémentaire (LFC) sera nécessaire, pour la troisième année consécutive, afin de prendre en charge les mesures prises par le dernier Conseil des ministres pour soutenir l'emploi et l'investissement. Karim Djoudi a d'emblée choisi de répondre à la critique - sérieuse - sur l'incapacité du gouvernement à faire une prévision budgétaire annuelle qui est la durée la plus basique qui soit. Sans les mesures exceptionnelles annoncées dans le dernier Conseil des ministres, l'Algérie aurait-elle échappé à une autre «LFC» ? Certains en doutent et relèvent que la LFC est désormais incluse, d'emblée, dans la démarche du gouvernement. La répétition du recours à la LFC tend à les conforter. Ne pas avoir une démarche sur un an, cela fait néanmoins désordre. A l'évidence, le ministre en est conscient en affirmant que le recours à une loi de finances complémentaire «ne signifie pas un manque de visibilité en matière de prévisions des finances publiques du pays» mais apporte des «correctifs à des décisions exceptionnelles qui seront prises durant un exercice donné». Bien entendu, les incidences financières des mesures prises récemment doivent être officiellement inscrites dans le budget de l'Etat. Mais la LFC servira aussi, selon le ministre, à consacrer certaines «dispositions légales». Nul ne sait quelles sont ces dispositions. Mais il faut savoir que les opérateurs, algériens comme étrangers, n'oublient pas que les dernières lois de finances complémentaires ont été l'occasion d'impulsion des changements significatifs en matière de politique économique. L'absence de clarté sur les «dispositions légales» à consacrer ne manquera pas de susciter quelques appréhensions. Le débat sur la pertinence d'un recours systématique à la LFC n'est pas près de s'estomper. Hausse des salaires et inflation Les observateurs de la scène économique retiendront davantage le fait que le ministre des finances, Karim Djoudi, admet qu'il existe un risque de poussée inflationniste en 2011. Celle-ci est un effet quasi mécanique du renchérissement des produits alimentaires en général importés et des hausses de salaires sans contrepartie productive. Les augmentations de salaires décidées par les pouvoirs publics n'allant pas, dans une proportion significative, à l'épargne mais à la consommation, l'effet inflationniste est certain. M. Djoudi semble tabler sur l'hypothèse que les nouveaux revenus ne seront pas consommés mais transformés en épargne. Ainsi, selon la projection optimiste du ministre des Finances, les rappels au titre du régime indemnitaire de 2008, 2009 et 2010 pourraient être transformés en épargne par les ménages afin de l'utiliser dans les dispositifs de soutien à l'accession au logement.»Les banques ont tout intérêt à profiter de cette masse d'argent mais doivent être plus actives en termes de mobilisation de l'épargne», a-t-il déclaré. La masse monétaire en circulation enfle du fait des injections massives d'argent public dans l'économie sans contrepartie de production. Les augmentations de salaires comme les dépenses publiques vont renforcer une demande qui n'est pas satisfaite par une offre croissante. Cela entraîne mécaniquement à une hausse des prix qui vient annuler ces augmentations. L'épargne, qui est en effet une issue à cette poussée inflationniste, n'est possible que lorsque les ménages arrivent à dégager des excédents. Cela n'est possible que pour une petite partie des ménages. Dans une économie où les revenus salariaux sont engloutis par la consommation et les besoins primaires et où la production stagne, l'effet inflationniste est assuré. Il faut ajouter également que les taux d'intérêt, très bas, sont totalement dissuasifs pour l'épargne et poussent à la consommation et donc à l'inflation. Cet aspect de la politique monétaire algérienne, qui aurait été plus efficace dans l'encouragement de l'épargne, ne semble pas près d'être remis en question. Un billet de 2000 dinars pour le bonheur de l'informel «On perfuse un corps structurellement anémié au lieu de tenter de le régénérer », estime un spécialiste qui précise que cette régénération est un effort de moyen terme. Le fond du problème, selon lui, est l'indigence de la production locale. L'inflation n'est pas un « mal absolu, mais elle est dévastatrice dans un contexte de croissance réelle atone ». Les économistes relèvent également que l'inflation est dans une large mesure importée et liée. La tendance à la hausse des prix des produits de base est un phénomène global contre lequel la seule variable d'ajustement serait la hausse de la production locale qui reste faible. Il faut aussi noter, ainsi que le fait le ministre des Finances, que les effets multiplicateurs des investissements d'infrastructures sont très faibles. Les autoroutes réalisées par les entreprises étrangères améliorent le réseau routier, ce qui est important, elles n'ont pas d'effet d'entraînement sur le reste de l'économie. L'annonce de la Banque d'Algérie au sujet de la création d'un nouveau billet de banque d'une valeur de 2.000 DA (deux mille dinars), afin d'assurer 'une disponibilité accrue'' de la monnaie fiduciaire, va plaire au secteur informel. Les acteurs de cette part importante de l'économie nationale seront sans doute les plus impatients à vouloir palper ces 2000 dinars dont la date de mise en circulation n'est pas encore connue. Selon la Banque d'Algérie, la nouvelle coupure, «qui circulera concomitamment avec les autres billets de banque actuellement en circulation, contribuera au rafraîchissement de la monnaie fiduciaire et à sa disponibilité accrue». La nouvelle émission coïncide avec le 47ème anniversaire de la création de la monnaie nationale, précise la BA dans un communiqué. Au-delà de cet aspect «commémoratif», la mise en circulation de ce billet à «forte» valeur faciale est l'expression d'une inflation, jusqu'ici, relativement rampante et de la domination très inquiétante de la sphère informelle.Tizi Ouzou : Un terroriste neutralisé à Tadmaït - Actualité - El Watan
Le Figaro - Politique : Nicolas Sarkozy sèche sur une question d'un journaliste
Nicolas Sarkozy sèche sur une question d'un journaliste
Mots clés : Politizap, FRANCE, Nicolas Sarkozy, Jacques Chirac, Nadine Morano
Par Jim Jarrassé, Bastien Hugues 25/03/2011 | Mise à jour : 19:48POLITIZAP - Le chef de l'Etat qui esquive avec une humour une question sur le dossier Parmalat, Jacques Chirac en dragueur invétéré, Nadine Morano qui préfère Valls à Montebourg... Lefigaro.fr a sélectionné les images marquantes de l'actualité politique de la semaine.
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Manifestation empêchée par la police à Alger | Crise dans le monde arabe
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Des manifestants crient des slogans pendant un rassemblement organisé par la coordination natinale pour le changement et la démocratie.
Photo AFP
Agence France-Presse Alger |
Quelques dizaines de manifestants ont tenté à nouveau samedi de marcher à Alger à l'appel de la Coordination nationale pour le changement et la démocratie (CNCD) mais ont été bloqués par la police, a constaté un journaliste de l'AFP.
Les manifestants, parmi lesquels le président d'honneur de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l'homme (LADDH) Ali Yahia Abdennour et des députés du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD, opposition), ont été encerclés par des policiers sur la place du 1er mai au centre de la capitale.
Des centaines de policiers étaient déployés autour de cette place d'où devait s'ébranler la manifestation en direction la Place des Martyrs, à quelque trois kilomètres de là.
Les manifestants brandissaient des drapeaux algériens et des pancartes sur lesquelles on pouvait notamment lire: «système dégage» et «pour la liberté, la justice et l'honneur». Ils se sont dispersés dans le calme.
La CNCD, créée en janvier dans la foulée des émeutes qui ont fait cinq morts et plus de 800 blessés, s'est scindée en deux il y a environ un mois, une faction refusant de manifester, l'autre instituant des manifestations hebdomadaires.
Cette dernière, qui manifestait ce samedi pour la septième fois, comprend le RCD, le PLD (Parti pour la laïcité et la démocratie, non reconnu) et le MDS (Mouvement démocratique et social, sans élu à l'Assemblée nationale). Elle compte également quelques associations.
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L'OTAN admet avoir tué des civils "par erreur" en Afghanistan
LEMONDE.FR avec AFP | 26.03.11 | 15h27
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Plusieurs civils ont été tués ou blessés vendredi 25 mars dans une frappe aérienne de la force internationale de l'OTAN (ISAF) en Afghanistan, dans la province méridionale du Helmand, fief des insurgés talibans, a annoncé l'Isaf samedi, sans préciser le nombre de victimes.
Les appareils de l'OTAN ont visé deux véhicules supposés transporter un chef taliban et ses adjoints, mais il s'est ensuite avéré qu'il s'agissait de civils, a expliqué l'organisation, précisant qu'une enquête avait été ouverte. La province du Helmand est un bastion des talibans, chassés du pouvoir à la fin 2001 et qui mènent depuis une insurrection contre le gouvernement de Kaboul et la force de l'OTAN qui le soutient.
Aucun responsable n'a pu être joint dans la province, où les réseaux de téléphonie mobile sont coupés depuis mercredi par les opérateurs, sur injonction des insurgés talibans. Ces derniers ordonnent régulièrement la coupure des réseaux, notamment pendant les offensives de l'OTAN, menaçant les compagnies d'attaquer leurs installations si elles n'obtemptèrent pas. Les lignes terrestres sont quasi-inexistantes dans le pays.
PREMIÈRES VICTIMES DU CONFLIT
Les civils sont les premières victimes du conflit afghan, entré dans sa dixième année. L'année 2010 a été la plus meurtrière pour les civils (2 777 morts), a récemment annoncé l'ONU, précisant néanmoins que plus de 75 % des victimes civiles (tués et blessés) étaient liées aux insurgés et que le nombre de celles dues aux opérations de l'OTAN avaient baissé de 21 % par rapport à 2009. L'Otan est néanmoins mise en cause dans plusieurs bavures depuis le début de l'année. Les autorités afghanes l'accusent notamment d'avoir tué plus de 70 civils dont onze enfants dans plusieurs bombardements depuis fin février dans la province orientale, Kunar, fief des insurgés frontalier du Pakistan.
L'Isaf a reconnu avoir tué neuf civils dans l'un d'eux, sans confirmer s'il s'agissait d'enfants, et en avoir blessé jusqu'à neuf dans un autre. Ces pertes civiles ont provoqué la colère du président afghan Hamid Karzaï qui avait demandé mi-mars à l'OTAN de cesser ses opérations militaires dans le pays pour éviter de tuer des civils. Son homologue américain Barack Obama lui avait présenté ses excuses pour la mort de neuf civils.
Le président Karzaï a officiellement lancé mardi le processus de transition, qui doit voir les forces afghanes prendre progressivement la responsabilité de la sécurité sur l'ensemble territoire afghan d'ici la fin 2014. La capitale du Helmand, Lashkar Gah, est l'une des sept zones choisie pour la première phase du processus, où la responsabilité de la sécurité va changer de main dès l'été 2011.